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Comptes rendus des matchs Equipe 2 4x4 2016

Avril à juin 2016
St Priest bat Jonage:
25/17-25/20-25/21
Asul 2 bat Jonage 2:
25/22-25/22-21/25-25/15
Cavj 4 bat Jonage 2:
25/21-25/21-25/21
Jonage 2 bat Pesd 5: 
25/29-25/18-25/18
Meximieux 1 bat Jonage 2:
23/25-29/27-25/20-25/13
Jonage 2 bat Crapahut 7:
17/25-25/17-21/25-25/16-18/16
On connait la chanson!

Avec Jonage 2 on connaissait la chanson avant même le début de la compétition : on savait que ce serait dur.

Les joueur l’avaient dit en parodiant Téléphone : »On rêvait d’un autre monde ! Où les attaques seraient fécondes ! »

Oui parce que la saison dernière ils avaient beau avoir fini champion du Rhône du confirmé 2 4X4, il y avait quand même pas mal de matchs où ils s’étaient embêtés. « Qu’est-ce qu’on s’emmerde ici merde ici, merde ici, merde ici, tsoin tsoin ! »

Alors comme l’aurait dit Tina Arena on est « Allez plus hauuuuut ! »

Direction le confirmé 1.

Et le premier match se déroulait à St Priest. Et là on aurait pu vous chanter n’importe quel style de chanson pour présenter la rencontre, du rock, du punk, du rap etc. mais surtout pas de la pop.

Oui parce qu’après ce match on ne veut plus entendre parler de Pop.

Pop, c’est le grand central qui nous a fait si mal pendant toute la rencontre. Bon Pop c’est son surnom, mais n’empêche que c’est bien lui qui a fait basculer le match.

Du côté de Jonage on n’a pas mal joué, mais il fallait quand même le temps de prendre ses marques puisque nous passions du 6X6 (3 jours après les finales)  au 4X4 avec un Laurent qui avait le redoutable privilège de remplacer notre ami Christophe.

Mais il était où Christophe, me direz-vous.

« Mais t’es où ? Pas là » nous répondrait Vianney.

Et ben nous on peut vous répondre ; il était blessé ! Encore ! Bon là c’était pas entièrement de sa faute, Jocelyn s’était occupé de sa cheville 2 semaines plus tôt, histoire d’être sûr de ne pas être remplaçant le jour des finales 6X6.

Alors à la réflexion c’est vers ces chers Pink-Floyd qu’on se retourne pour chanter « Wish you were here ».

Et oui si tu avais été là Christophe ça aurait été peut être un peu différent avec ton punch en attaque puisque, excepté Pop, nous n’avions rien à envier aux 3 autres joueurs de St Priest.

Le second match se déroulait à Jonage contre l’Asul mais alors là, il faut bien que je vous le concède je n’en ai plus qu’un souvenir très lointain : Alors je fais appel à des chanteurs pas très jeunes (doux euphémisme) pour vous que reviennent mes « souvenirs, souvenirs… » parce que « j’ai la mémoire qui flanche ! » (j’aurai quand même jamais cru que j’écrirai un compte-rendu en citant Jeanne Moreau.

Bon un petit événement a eu lieu dans ce match puisque je me souviens qu’après avoir perdu les 2 premiers sets nous avons stoppé la série de 5 sets perdus consécutivement en gagnant le 3ème.

Hélas, c’était pour mieux nous écrouler au 4ème !

Et alors là en guise d’interlude, je vous propose un bon vieux morceau de rock progressif style « supper’s ready » de Genesis (quoi, il y en a qui ne connaisse pas, c’est un scandale !) long de 22 minutes pour simuler le laps de temps qui s’est écoulé entre ce match et le suivant.

37 jours, oui 37 jours sans match ! Rémi a compté pour vous !

Et il en était tout triste le Rémi de ne pas pouvoir jouer avec ses copains.

Du coup pour qu’il ne soit plus morose on lui aurait bien chanté les « mots bleus » pour le consoler, vous savez ceux qu’on dit avec les yeux selon Christophe.

Christophe le chanteur, pas le chasseur.  Parce que ce chasseur là, il est peut être parti chasser sans son chien, ni son chat, ni son hamster mais on avait toujours pas trace de lui alors qu’il fallait aller à Crémieu affronter le Cavj . Pourtant on savait de source sûre qu’il n’était plus blessé.

Peut-être que cette équipe lui faisait peur. Oui parce que comme l’aurait chanté Georges Brassens « Au village, avec prétention, ils ont vraiment mauvaise réputation ! »

L’équipe 1 avait failli se battre avec eux en phase 6X6, d’autres équipes s’étaient plaintes de leur comportement.

Gaëtan avait prévenu, si l’ambiance lui plaisait pas il leur chanterait :’Mes chers amis, je pars, j’vous aime pas et je pars !! » à la façon Louane ou Sardou, au choix.

Mais alors là, il faut bien l’dire c’est une toute autre chanson qu’on a eu envie de chanter à l’issue de ce match : « Vous êtes formidables, et pas fort minables… »

Oui parce que l’équipe du Cavj, n’a pas dit un mot plus haut que l’autre, a même annoncé des fautes de filet qu’on n’avait pas vu.

Bon peut être que c’est l’effet Baume du tigre dont je m’étais enduit avant la rencontre et la douce odeur qui s’en détachait qui les avait assagi.

Parce que de notre côté, ça nous avait bien endormi en début de match où nous faisions faute sur faute, au service, en réception, en attaque.

« Il faut que tu respires… » chantait Mickey 3D ! Oui et ben pas trop quand même parce que l’odeur du baume du tigre est enivrante.

Bon passé, ce mauvais début de match, nous nous sommes ressaisis, et nous avons proposé un beau volley, en accrochant le Cavj.

Mais on sentait que nos adversaires en gardaient sous le capot, et qu’à chaque moment important ils donnaient un p’tit coup d’accélérateur pour faire la différence.

Nous nous sommes donc contentés de gagner, pour l’honneur, le 4ème set amical.

Le temps de manger quelques saucisses proposées par le Cavj, il fallait vite nous remettre puisque ce n’était pas 3 nuits par semaine comme le chantait Indochine mais  « 3 matchs par semaine, ils veulent vraiment notre peau, c’est un peu criminel ! »

Oui en l’espace de même pas une semaine nous avions 3 rencontres prévues !

A notre âge quand même !

Heureusement, pour le match suivant contre la Pesd, nous pouvions compter sur Christophe (le chasseur, pas le chanteur, vous suivez un peu ??)

Le bougre revenait pour ce qui devait être le match le plus facile sur le papier.

Et bien « laissez parler les p’tits papiers » a-t-on envie de chanter, parce qu’ils avaient bien raison ces p’tits papiers, ce fut le match le plus tranquille de notre championnat.

Il faut dire qu’en face, leur joueur le plus fort, faisait le ramadan. On lui aurait bien chanté « allez viens boire un p’tit coup à la maison ! » Mais il n’avait pas l’droit ! (et j’vous parle pas du pain du vin et du saucisson qui suivent dans la chanson !)

Alors, même s’il a fallu rester vigilant jusqu’au bout, même si le score parait un peu sévère pour cette équipe de la Pesd, la victoire en 3 sets était logique.

Pas l’temps de se reposer puisque 2 jours plus tard, se profilait une nouvelle rencontre contre « Mexiiiii ! Mexiiiiii… » coooo.

Ben non pas Mexico, vous êtes tombé dans le piège. Ce sont les championnats du Rhône pas les championnats du monde.

La bonne réponse était « Mexiiiiii, Mexiiiiii mieux ! »

Oui Meximieux ce n’est pas plus dans le Rhône que Mexico mais quand même un tout petit peu plus près.

Et puis dans l’Ain ils n’ont pas de championnats loisir alors ils viennent dans l’autre pour jouer.

Alors que dire de ce match : Un très bon début de Jonage lié avec un début très poussif de Meximieux, notamment en réception, qui nous permettait de remporter le premier set.

Un très beau 2ème set où les 2 équipes jouaient bien en même temps mais se trompait dans les paroles de la chanson « le premier pas » Au lieu de chanter « le premier pas, j’aimerai qu’elle fasse le premier pas… » les voilà qu’ils chantaient à tour de rôle « Le dernier point, j’aimerai qu’on fasse le dernier point ! » Et à cette chanson là c’est Meximieux qui l’emporte 29/27 en sauvant 2 balles de 2 sets 0.

Et à partir de là, pour résumer la suite ce qu’il faut c’est cité (ou cécité) Gilbert Montagné ou Ray Charles.

Ou alors on laisse la parole à Marc Lavoine : « Il a les yeux à l’envers, il a le regard perdu… »

Ok, ok, j’assume : Une fois puis 2 fois puis 3 fois j’ai annoncé à Gaëtan un ballon qui sortait, alors qu’il était dans le terrain.

A force, il avait bien le regard qui tue notre Gaëtan !

Bon, donc après avoir mené 10/2 dans ce 3ème set nous avons arrêté de jouer, nous avons connu  non pas un petit, comme Gainsbourg mais « un grand trou, un grand trou, vraiment un grand trou ! »

Rien n’y fera 2 sets minables (« on était fort minables, et pas formidables ! ») pour une défaite en 4 sets.

Il ne restait donc plus qu’un match contre les 2èmes de poule, Crapahut, autant dire qu’on ne sa faisait pas trop d’illusion.

Et pour cette dernière rencontre nous vous accueillons avec une petite chanson de Disney : « Je suis en retard » chantait le lapin d’Alice ce qui convenait parfaitement à l’équipe de Crapahut qui arrivait avec ¾ d’heure de retard.

Qu’allait donc faire nos  4 lascars de Jonage en attendant? Oui 4 puisque Christophe avait préféré aller voir un vulgaire match de football pour une vulgaire compétition européenne. Il allait donc louper l’invention du short volley.

Jeu qui se joue à 2 contre 2 sur un terrain de 9 m de large par 3 m de long.

Rien de tel pour travailler le toucher de balle.

Et il sera écrit que dans l’histoire de cette discipline la première équipe à avoir gagné un set sera le duo Rémi/Gilou, alors que la première équipe à avoir remonté un handicap de 1 set 0 pour égaliser sera le duo Gaëtan/Laurent.

Par la même occasion ces 2 équipes sont rentrées dans le livre des records pour avoir disputé le point le plus long, le point le plus court, avoir réussi le plus de points gagnants dans un set,…

Le Sambo, discipline qui truste les récompenses remises par la mairie de Jonage, n’a qu’à bien se tenir.

Crapahut étant enfin arrivé nous avons pu commencer la rencontre à 21h pour un rendez-vous à 20h ! « J’attendrai, le jour et la nuit, j’attendrai toujours !! » Un bon vieux Dalida et nous voilà parti !

Et le match était d’excellente facture. Contre toute attente notre équipe faisait jeu égal avec Crapahut si bien qu’à 1 set partout, Rémi se référait à Edith Piaf : « Les amis si on gagne on va regretter nos défaites dans les matchs précédent et moi… Non rien de rien, je n’veux rien regretter !! »

Oui mais voilà, Gaëtan n’aime pas Edith Piaf,  il préfère largement Renaud, surtout son dernier tube ! « Toujours vivant, rassurez-vous, toujours la banane, toujours debout ! »

Et oui c’est dans un esprit décontracté mais volontaire qu’on a réussi à recoller à un set partout, puis à 2 sets partout, pour disputer un 5ème set.

Et à 10/5 pour nous, on était plus que debout ! Et à 14/13 pour nos adversaires, on avait  encore la banane parce qu’on était toujours vivants… surtout après le superbe contre de Gaëtan pour sauver la balle de match.

Et à 18/16 pour nous on pouvait exulter, on venait de gagner ce qui restera notre plus beau match de la compétition.

Voilà, c’est fini pour cette saison, alors certes, on ne pourra pas chanter comme Queen « We are the champions ! » mais par contre on pourra reprendre à notre compte la chanson de Georges Brassens : « Non ce n’était pas les plus forts

Les plus costauds on est d’accord

Mais ils restaient tout l’temps soudés

Tout le temps soudés

Y avait Rémi et puis Laurent

Christophe, Gilou et Gaëtan

Et s’appelaient les copains d’abord

Les copains d’abord !

La la la la la la la la

La la la la la la la…. »

Gilou

 

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