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Comptes rendus des matchs • Equipe 1 6X6 • Saison 2013/2014

Mercredi 19 Mars 2014 à Jonage

 

JONAGE 1
 

0-3

Crapahut 3
 
20/25-24/26-21/25

 

 « Mais qu’est ce que c’est que ce bordel ! J’ reconnais aucun joueur de Crapahut qui ont joué contre nous la dernière fois ! »

 

Ah Stéphane, n’y comprenais plus rien l’autre mercredi soir. Il était venu prendre sa revanche contre l’équipe de Crapahut 2 qui nous avait battu au match aller et voilà qu’il avait une autre équipe en face!

Mais il n’avait pas compris que ce serait le chiffre 3 qui nous poursuivrait toute cette soirée.Oui parce que lui, arrivé en cours de saison, avait joué contre Crapahut 2 alors que l’adversaire du soir était Crapahut 3 qui nous avait aussi battu mais plus tôt dans le championnat.

Alors c’était donc la 3ème fois cette saison qu’on jouait contre Crapahut et comme nous avions perdu 2 fois il était temps de ne pas songer à ce fameux proverbe « jamais 2 sans 3 ».

 

Et d’ailleurs tout s’est bien passé jusqu’à que Jonage mène par 3X3 à 0 autrement dit 9/0.

Il faut dire qu’on avait de quoi être plié en 4 devant les réceptions manqué les unes après les autres par Crapahut.Mais avec Crapahut, on sait qu’il faut se méfier.

Et si d’après Marian, Jonage mènera encore 3X5 à 3X3 (donc 15 à 9 pour les nuls en math) en 3 coups de cuillère à pot, le match changea de tournure :Crapahut accélérait, alors que Jonage restait sur le même rythme, incapable de hausser le niveau et voyait ses attaques souvent contrées ou relancées.

Crapahut interrompait sa série à 17/15. 17 ! Pffff même pas un multiple de 3. Ils auraient au moins pu jouer au jeu du chiffre 3 !

Le mal était fait dans ce 1er set et Jonage ne s’en remettait pas. Avec des attaques qui ne cassaient pas 3 pattes à un Crapahutien, ils s’inclinaient 25/20.

 

Alors autant vous dire qu’au changement de côté on était énervé :« Non, non 3 fois non, on n’est pas 3 fois plus con que la moyenne, on vous dit que la 3ème sera la bonne alors on passe la 3ème vitesse et vite ! »

Et la 3ème vitesse a suffit pour se détacher de nouveau dans le 2nd set 14 à 7. Oui alors là vous vous dîtes à ce moment de score que 14 et 7 ne se divisant pas par 3, Jonage avait fini de jouer à ce jeu stupide et s’était reconcentré sur son match… oui mais voilà, 14+7=3X7….

Bon vous avez compris, de nouveau Crapahut sonnait le réveil et il aurait alors fallu enclencher la 4ème vitesse mais hélas, 3 fois hélas, Jonage en était tout simplement incapable !

Oh ! On ne peut pas dire que l’équipe jouait mal ,elle conservait tout de même un peu d’avance pour obtenir non pas 3 mais 2 balles de set.Au passage, elle s’énervait un peu sur un des adversaires qui avaient fait 2 fautes de filet sans les annoncer. Alors pensez-bien que Philippe, fidèle au chiffre du jour, sifflait la 3ème.

Mais ça ne suffisait pas, et pour 3 fois rien Crapahut remportait ce 2ème set 26/24.

 

On essayait pourtant d’y croire encore du côté de Jonage, et on tentait une nouvelle tactique en plaçant Philippe en poste 4.Mais en 2 temps 3 mouvements Crapahut cette fois-ci peu décidé à faire un mauvais départ, se détachait 8/4.

Philippe , qui n’avait plus joué en poste 4 depuis au moins le 3/3/2003, était même tout près de s’auto sortir !Mais finalement il est resté jusqu’au bout sur le terrain pour participer à la défaite 25/21.

 

Allez c’est décidé, 1 de ces 4 matin, en moins de 2, unis comme les 5 doigts de la main, on empochera les 10 de der contre Crapahut et on leur mettra le moral à 0 !

 

En attendant, le croyez-vous ? Avec cette 3ème défaite, en 3 sets cette fois-ci, contre Crapahut, Jonage se retrouve 3ème du classement.

 

Prochain match : mercredi 26/03 contre Vball…3 ! Heureusement c’est seulement la 2ème fois qu’on les affronte cette saison, il reste de l’espoir même si cette équipe est leader de la poule.

Gilou

CRAPAHUT PASSE LA 3ème FACE A JONAGE 1

 

 
Mercredi 26 février 2014 à Jonage

 

JONAGE 1
 

3-2

PESD
 
25/21-21/25-25/23-29/31-15/12

 

 2 sets à 1 pour Jonage 24/22 dans le 4ème set : 2 balles de match donc.Et là, c’est à toi de servir.

Et là tu sens une confiance immodérée de l’équipe envers toi :

David : « Vas-y Gilles, assures ton service ! »

Stephane : « Bon, c’est à toi de servir ? Alors tu te démerdes, tu sers à la cuillère, mais tu nous le fous dedans ton service ! »

Et là tu repenses que dans ton dernier compte-rendu tu t’es foutu de le gueule de Philippe qui a fait une faute de service sur balle de set.

Et là tu te rappelles que toi-même t’as fait faute de service sur une balle de set contre Crapahut 3 matchs auparavant !

Alors autant vous dire que je l’ai plus qu’assuré mon service.

Oui mais voilà, ça n’a pas suffit, notre adversaire du soir, la Pesd , a fait plus qu’assurer, elle, en cette fin de 4ème set, très présente en défense et au contre et agressive en attaque, elle renversait la situation et enlevait ce 4ème set de haute lutte : 31/29 !

Pour ceux qui suivent les aventures de Jonage 1, vous aurez remarqué que c’est le 2ème match consécutif où l’équipe perd un set sur un tel score.

Alors je vous vois venir. Vous vous dites : « Ok c’est bon pas besoin d’aller plus loin dans le compte-rendu, la fin du match on la connait. Comme d’habitude, Jonage a craqué et a fini par perdre un match largement gagnable ! »

Ah désolé, messieurs, dames, mais avant d’aller regarder Drucker à la télé, il va vous falloir attendre un peu parce que Jonage a montré que l’équipe pouvait avoir des ressources mentales.Oh il y eu bien quelques énervements (mais que serait cette équipe sans énervements ?).

Ainsi a-t-on vu notre Bruno s’exclamer : » Bon les gars, maintenant tout le monde se met sur la même ligne en réception ou alors moi je m’en vais ! »

J’ai bien eu l’idée à un moment de dire à mes coéquipiers : « Chiche on se met pas en ligne pour voir s’il aura le courage d’aller jusqu’au bout ! »

Mais bon on était en plein dans le 4ème set et j’ai bien compris que c’était pas le moment de plaisanter.D’autant plus que si Bruno partait, on se retrouvait avec 3 passeurs et 3 attaquants et ça faisait désordre quand même ! Oui 3 attaquants puisque Philippe avait prévenu de son absence (il en avait marre que je le taille à chaque compte-rendu !), et Marian avait fait un petit tour (de terrain), et puis s’en va ! Oui, le roumain avait joué au colosse au pied d’argile (ou plutôt au mollet d’argile) : le pauvre s’étant blessé en courant 3 jours auparavant, il avait vite vu que ce n’était pas la peine de songer à imaginer à penser qu’il pourrait pouvoir jouer !

Donc on s’est tous mis en ligne ce qui, vous l’aurez remarqué, n’a pas empêché l’équipe de perdre ce 4ème set.

Et à 2/0, pour la Pesd au 5ème set, je le concède, on était comme vous, on voyait bien Jonage sombrer.Mais non ! L’équipe a su se serrer les coudes et a recollé au score à coup de bonnes défenses, de belles attaques gagnantes (notamment la mienne, pied au sol, ballon pris derrière qui retombe juste derrière le contreur , mais peut-on décemment appelé ça une attaque ?!) ? de jolis contres (Ouh ! le contre d’Hervé en fin de set, qu’il a fait mal ! et à la suite duquel Stéphane s’est empressé de chambrer légèrement l’équipe adverse qui elle-même était un brin chambreuse depuis le début de la rencontre!).Et donc, Bruno nous a démontré qu’on a bien fait de l’écouter puisque c’est lui qui a mis un terme à cette rencontre par un ballon poussé en fond de terrain que la Pesd n’a pas pu ramener.

Stéphane pouvait pester « Ah que c’est con d’avoir perdu la semaine dernière contre St Priest ! »

Oui d’autant plus con que St Priest s’inclinait le même soir contre Vball 18/16 au 5ème et ce qui permettait à Jonage de reprendre la 2ème place, mais ce qui confortait Vball dans sa place de leader de la poule.

Prochain match : A la rentrée contre Crapahut qui nous avait battu en 5 sets à l’aller…mais ça c’était avant… quand Jonage n’avait pas de mental !!

Gilou

LA UNE S'IMPOSE AU MENTAL

 

 
Jeudi 20 février 2014 à St Priest

 

ST PRIEST
 

3-2

JONAGE 1
 
14/25-26/24-31/29-18/25-15/10

 

LA UNE SOMBRE A ST PRIEST

 

 

 Et voilà! c’est dans ces cas là qu’on est heureux de faire le compte-rendu des matchs !

Allez expliquez à vos nombreux fidèles lecteurs (150 selon les syndicats, 2 selon la police !) comment l’équipe 1 a bien pu sombrer devant St Priest alors qu’elle menait facilement 1 set 0(25/14) et avait fait le trou dans le second set pour laisser St Priest à 5 ou 6 longueurs derrière elle !

Comment expliquer ce trou noir en fin de second set qui a relancé complètement St Priest ?

 

Stéphane qui était au bord du terrain aurait bien botté les fesses des joueurs de Jonage !« Les gars, plus personne n’attaque, qu’est-ce que c’est que ce bordel, si j’avais su jamais j’aurai signé dans une équipe pareille ! Pas possible, ça ! »

Ben oui mais pour attaquer encore faut-il qu’il y ait des réceptions correct et c’est là que le bas blesse !

 

Alors oui, dans la course à la réception manquée, votre serviteur était largement dans le peloton de tête voir même l’échappé solitaire du jour avec une bonne longueur d’avance sur tous les autres.Et que j’te zippe d’un côté, et que j’te zippe de l’autre. Bon vous le direz pas parce qu’officiellement j’ai fait comme si je le faisais volontairement « Oui les passeurs ne bougent pas beaucoup, je veux faire travailler un peu leur physique» mais officieusement j’étais frustré, mais frustré !

 

Alors après qu’on ait perdu ce 2ème set 26/24 j’ai fait une Marian : « Bon les gars je vais aller observer du bord du terrain comment ça se passe ! »

 

Ah ! Notre Marian, parlons en de notre Marian qui n’était pas là. Qu’il avait eu raison d’aller goûter la bière Irlandaise plutôt que d’assister à ce renversement de situation !

Parce qu’en parlant de bière, cette perte du second set signifiait bien la mise en bière des espoirs jonageois.St Priest, bien fébrile en début de match, faisait maintenant jeu égal avec Jonage , et le 3ème set fut de très haut niveau…enfin par toujours en terme de niveau de jeu mais au moins en terme de score : 31/29 pour St Priest.

Si j’étais un enfoiré je signalerai bien ce service dans le filet de Philippe sur une balle de set en notre faveur mais ne voulant me fâcher avec personne je ferai comme si je l’avais oublié.

 

« En tout cas c’est bien beau de chambrer mais viens donc montrer que t’es un homme », pourrait me répondre Philippe.

Oui parce que de mon côté j’ai décidé que c’était fini pour moi : je ne rentrerai plus jusqu’à la fin du match laissant donc l’équipe se débrouiller sans moi ! (Qui a parlé de lâcheté ?)

 

Et d’ailleurs grand bien m’en pris puisque comme me le faisait remarquer mon ami Olivier, j’étais nettement meilleur dans la course au ballon perdu au fond du gymnase pour le donner au serveur que dans le rôle de réceptionneur.

« T’en as pas marre de courir après le ballon »qu’il m’a dit le père Olivier ?

« Ca me réchauffe, il fait pas bien chaud dans ce gymnase » que j’lui ai répondu.

 

Une qui soufflait le chaud et le froid, c’était bien l’équipe 1 qui venait de s’imposer facilement 25/18 dans le 4ème set mais qui d’’entrée de 5ème set s’était laissé distancée.Un retard que l’équipe n’a jamais pu récupéré. 15/10 pour St Priest.

 

Prochain match mercredi 26/02 contre la PESD. C’est décidé, s’ils ont la tête sous l’eau on ne les remettra pas dans le match !

 

Gilou

Lundi 10 février 2014 à Azergues

 

AZERGUES
 

0-3

JONAGE 1
 
22/25-18/25-19/25

 

LA UNE SOIGNE LE RETOUR A AZERGUES

 

 

 C’était pas l’enfer du Nord qui nous était promis à Azegues mais presque !

Certes Jonage 1 s’était imposé 3/1 à l’aller mais étant absent de cette rencontre je ne pouvais que me référer aux commentaires de mes coéquipiers.

Philippe : « On a joué chaleur pour les battre »

Hervé : « On a gagné, mais si on joue la rencontre 10 fois, on perd 9 fois ! »

Bon on notera qu’Hervé, qui avait fait les comptes et s’était aperçu que nous n’avions pas encore perdu 9 fois contre Azergues depuis le match aller, s’était habilement défilé pour nous laisser entre nous.Entre nous, c'est-à-dire 6 joueurs, avec un de retour de l’infirmerie pour cause de douleur à la cuisse (Stéphane), un qui va bientôt devoir y aller pour avoir trop joué au tennis et qui se plaint des adducteurs (Philippe) et un malade (David « t’as vu les cernes que j’ai sous les yeux ! »).Restaient donc 3 joueurs valides, un expatrié de Dardilly, un franco-Roumain, et un franco-Polonais.Vive la diversité !

En attendant, pas le temps de paniquer, départ de Meyzieu à 19h40, arrivée à Chazay d’Azergues à 20h20 et début du match à 20h35, j’ai déjà connu mieux comme préparation psychologique !

Juste le temps de repérer les lignes du terrain de volley, perdues parmi une multitude d’autres lignes qui faisait craindre le pire pour se repérer.

 

Tout était donc prêt pour une de ses soirées galères où l’on regrette de ne pas avoir fait comme David Vincent en son temps, à savoir chercher un raccourci qu’on n’aurait jamais trouvé !

 

Oui mais voilà, il ya des soirées de grâce où tout se passe au mieux, ou les défenseurs sont là où il faut, où les passeurs passent au bon endroit et où les attaquants contrent quand il faut et plantent leur banderille quand il faut… et surtout, surtout, où l’équipe reste zen, mais tellement zen que tout les moines boudhistes du monde rêveraient de jouer dans cette équipe !

David avait emmener dans ses poches sous les yeux, des attaques tranchantes dont il a le secret, Philippe emmenait ses adducteurs avec lui pour bondir et maltraiter ce pauvre ballon qui n’a rien demandé, et Stéphane n’avait pas besoin de ses cuisses pour donner des conseils sensés et replacer tout ce beau monde quand l’un d’entre nous venait à ne pas être placé au bon endroit. (Oui bon ça va, on va m’en reparler encore le temps de ce ballon que je n’ai pas récupéré au fond de terrain parce que j’étais trop avancé ???)

Et tout le reste de l’équipe s’en trouvait gonflé de confiance avec mention spéciale à notre Marian national (oui vous avez remarqué c’est pratique, quand il joue mal il est Roumain et quand il joue bien il devient français !), qui plaçait notamment 2 contres de suite dans le 2ème set.Même Philippe a du le calmer :« Euh, Marian, pourrait-tu te calmer un peu s’il te plait, j’ai un peu peur que l’équipe adverse ne le prenne mal ! »

Bon qu’il ne se plaigne pas, Marian aurait pu nous entrainer dans une Hora, vous savez cette danse traditionnelle roumaine dont la spécificité est de se danser en un grand cercle ouvert ou fermé.Ah vous ne connaissiez pas, ben voyez que je vous apprend des choses (quoi Wikipédia, ?! oui ben c’est écrit nulle part que je n’ai pas le droit de consulter ce site !)

En attendant, Azergues il faut bien le dire, ne ressemblait absolument pas à l’équipe rencontrée à l’aller (seuls 2 joueurs étaient présents). Et cette équipe allait être vite dépassée par les événements, trop maladroite en défense, donnant même des points dans les moments importants au service.

 

Victoire nette et sans bavure donc. Olivier cherchait à analyser : « Mais comment ça se fait qu’on était aussi bien placé aujourd’hui ? »

« Surtout ne cherche pas et savoure » lui a répondu David

 

.Bon on savourera donc jusqu’au jeudi 20/02, date à laquelle on ira à St Priest qu’on a battu 3/0 facilement à l’aller. Paraitrait que ça veut rien dire et que les matchs retours ne ressemblent en rien aux matchs aller, alors méfiance quand même d’autant plus que St Priest n’a perdu qu’un seul match dans la phase aller !

 

Gilou

Lundi 13 janvier 2014 à Crapahut

 

CRAPAHUT 2
 

3-2

JONAGE 1
 
27/25-19/25-21/25-27/15-15/13

 

LA UNE REMISE EN PLACE PAR CRAPAHUT 2

 

 

 2ème déplacement de Jonage à Crapahut cette saison. Après une défaite 3/2 contre Crapahut 3, l’équipe s’attaquait à Crapahut 2.

Olivier l’affirmait après l’échauffement : « Bon ça n’a quand même pas l’air trop farouche en face »

Mais David, lui venait avec d’autres renseignements : S’étant dévoué pour aller parler avec l’ennemi, en l’occurrence un joueur d’une autre équipe de Crapahut, pendant qu’on s’échauffait au service, pour lui soutirer des renseignements tactiques, il avait pu récupérer cette information importante : « Ben, il m’a dit que ça jouait pas mal ! » Source tactique de la plus haute importance, vous me l’accorderez !

Ce à quoi Philippe, dans un excès d’optimisme, rajoutait : « Oui, et puis en plus on a jamais au grand jamais, battu Crapahut, je vous le rappelle ».

Alors là, on est bien obligé de souligner, d’une part l’Alzheimer qui guette notre Philippe, et d’autre part, le fait qu’il ne lit même pas mes comptes-rendus, puisque j’avais déjà noté, sur ce même site, après notre match contre Crapahut 3, que nous avions battu Crapahut, la saison dernière !

Quel con ce Philippe alors ! (j’en profite, vu qu’il ne lira pas ces lignes ou qu’il ne s’en rappellera pas !)

Bon, Jonage avait quand même sorti les grands moyens : Une pointure de national 3 ! Oui messieurs dame, on ne se refuse rien dans l’équipe 1, Stéphane, ex joueur de national 3, intégrait donc l’équipe !

On allait voir ce qu’on allait voir !

Ben ce qu’on a vu c’est une fois de plus une équipe de Jonage qui alternait le bon et le moins bon, des bonnes attaques suivit de maladresses en relances ou de fautes en service.

Ah oui, le service, parlons-en du service, autant crever l’abcès tout de suite !

Parce que voyez-vous, cahin-caha, Jonage a quand même réussit à passer devant au score et à se procurer une balle de set à 24/23 au premier set ;

Service Jonage et en l’occurrence, cet honneur me revint !

David, me montrait l’entière confiance qu’il avait en moi en me disant « surtout tu l’assure ton service »

« Tu l’assures, tu l’assures, que je me disais dans la tête, tu parles oui , des clous, j’vais te faire un service gagnant et on verra bien qui sera le héros du 1er set ! Ah qu’est-ce que je vais pouvoir me vanter dans mo prochain compte-rendu ! »

Bon,  il faudra quand même que je touche 2 mots à celui qui a choisi le ballon en début de match. Non mais c’est vrai, j’avais pas les mêmes sensations que d’habitude moi  avec ce ballon qui flottait ! Et puis à 1m près je l’aurai fait mon service gagnant ! Enfin je l’aurai peut-être pas fait mais n’empêche que Crapahut aurait bien été dans la m…

Enfin Crapahut n’aurait peut-être pas été dans la m… mais n’empêche qu’on aurait surement bien défendu !

Oh et puis arrêter de m’énerver sinon j’arrête la mon compte-rendu et vous ne connaitrez pas la suite !

Ca y est vous êtes calmés ; Alors la suite, et bien la suite, c’est justement également une équipe de Jonage beaucoup plus calme que d’habitude, et du coup le score s’en ressentait ; Parce que malgré la perte du 1er set 27/25(Putain de service quand même !),  les 2 suivants  revenaient à Jonage qui sans être monstrueux de régularité, se montrait quand même supérieur à Crapahut dans beaucoup de compartiment du jeu.

Même Marian, qui après avoir décliné l’offre de rentrer dans les 2 premiers sets, avait fini par se laisser persuader de venir jouer avec les copains !

Alors au 4ème set, on se dit qu’il n’y avait plus qu’à finir le travail.

Jonage prenait 5 pts d’avance au score. C’était sûr, la victoire nous tendait les bras !

C’était avant ! Avant le drame !  Avant que Jonage ne se perde :

Philippe l’a tout de suite vu pourtant :

« Putain Marian, t’es pas là, c’est David qui est en poste 2 toi t’es au centre ! »

Ah Marian ! Tout le monde a fini par lui hurler dessus parce que point après point il était mal positionné !

Faut dire aussi, il déconnait ! Du coup Crapahut était revenu au score ! Pensez-bien que du bord du terrain où j’étais je serai bien allé lui botter le cul…du moins si j’avais fait quelques kilos de plus et mesurer quelques cms de plus !

Bon on a bien fini par le récupérer ce ballon, mais Crapahut était revenu au score.

Donc David s’en allait servir pour essayer de remettre l’équipe sur la bonne voie… mais attendez… non c’était pas à David de servir, non c’était à Marian !

Ah ben mince c’est lui qui avait raison depuis le début, alors ! Ben pourquoi il l’avait pas dit ? Ah il l’avait dit ! Ben il faudrait qu’il apprenne à parler mieux que ça en français, parce qu’on n’avait pas entendu !

Bon de toute façon pas le temps de s’excuser auprès de lui, le mal était fait, Crapahut avait retrouvé la confiance et Jonage retrouvait l’énervement qui caractérise si souvent  l’équipe quand les affaires tournent mal.

Alors on eut bien une balle de match… que Olivier gâchait par une faute de service ! Ah ces mecs qui font des fautes de service aux moments importants, j’te les lyncherai moi.

La perte du 4ème set avait définitivement fait tourner le match :

Victoire de Crapahut  3 sets à 2… pour rien puisque Jonage se retrouvant en 2nde phase dans la poule du haut, et Crapahut 2 dans la poule du bas, le résultat ne sera pas pris en compte.

Il nous restera Crapahut 3 pour les matchs retour… Eh les gars n’écoutez pas Philippe, on les a déjà battus !!

 

 

Gilou

Mercredi 8 janvier 2014 à Jonage

 

JONAGE 1
 

3-1 

 
ASCMO
 
25/22-23/25-25/23-25/19

 

« Salut David, ça va ?

-Bah j’ai mal au ventre j’ai pas digéré ce que j’ai mangé !

Salut Marian, ça va ?

-Ouais, bof j’suis un peu fatigué ce soir !

-Salut Olivier, ça va ?

-Ah m’en parle pas j’ai ma douleur au poignet qu’est revenue !

-Salut Philippe, ça va ?

-Putain de sinusite, j’suis sur les rotules ! »

Comme vous  le voyez, en 2014 la une  ne change pas ses habitudes, elle conserve son quota désormais habituel, de gens blessés, pas en forme, fatigués…

Bon un changement quand même : Depuis le temps que les gars le réclamaient, ils ont eu le bonheur de jouer contre l’Ascmo à domicile et non chez eux, évitant ainsi un déplacement du côté de Lissieu.

Mais sur le terrain? Je vous le demande, est-ce qu’il y avait du changement sur le terrain ?

Et bien non, tant du côté du jeu où l’équipe alternait le bon et le moins bon, que du côté du mental, où l’équipe montrait un rejet absolu de Lorie et de sa positive attitude !

C’est biens simple : Personne pour signaler les bons points et tout le monde pour se plaindre des fautes !

Alors évidemment quand vous êtes dans cet état d’esprit, dur dur de produire un beau volley.

Heureusement, en face l’Ascmo n’était pas non plus le plus farouche des adversaires, avec une seule victoire à son actif depuis le début de saison,  début de saison difficile donc  probablement du à un manque de tranchant en attaque et à des réceptions aléatoires .

Donc entre une équipe  fébrile mentalement et une  autre limitée sur le plan du jeu, le score était plus que serré : L’Ascmo faisait la course en tête dans le premier set avant de se voir coiffer sur le fil pour perdre 25/22. Dans le 2 ème set   c’est exactement l’inverse qui se produisait et Jonage perdait 25/23 et enfin on revenait à la configuration du 1er set, dans un 3ème set où Jonage faisait son retard avant de s’imposer 25/23.

Alors, vous remarquerez que jusqu’ici je n’ai pas parlé de Bruno. Et bien oui, étonnamment Bruno m’avait signalé avant le match que tout allait bien pour lui !

Rassurez-vous ça n’allait pas durer : Dans le 4ème set où Jonage avait fini par faire le trou (18/12) et dans lequel on pouvait même voir apparaitre des semblants de sourire sur les visages des joueurs de Jonage, Bruno allait se faire mal aux doigts en contrant. Ah ben on se disait bien aussi ! C’était trop beau pour durer.

Philippe qui était à l’arbitrage  rentrait donc  à sa place,!

Quelques points plus tard, Bruno signalait un ballon qui tombait à mes pieds que je voyais faute…e t que Philippe aussi voyait faute.

Philippe lui signalait aimablement que peut-être, il lui semblerait que éventuellement il ai pu commettre une petite erreur et qu’il s’excusait de le contredire  mais  que d’ailleurs, Gilles lui-même, qui était bien placé, et dont on ne doute pas de son intégrité, l’aurait vu également sortir et qu’il pouvait lui demander.

Bon à ce stade là, d’une part ne voulant pas être mêlé à cette conversation, et d’autre part en prévention de quelques noms d’oiseaux qui pourraient pleuvoir, je vous propose une petite page publicitaire :

« Avant, Jonage gagnait avec le sourire… mais ça c’était avant !.... Avec Jonage, je négative ! »

Retour sur le terrain : le problème de ces interruptions c’est qu’on ne sait pas ce qu’il s’est passé en notre absence. Et là Bruno avait disparu. Des rumeurs font état d’un Bruno bâillonné par Philippe dans les vestiaires avec le saucisson dans la bouche… mais ce ne sont que des rumeurs !

Bon, toujours est-il que Philippe profitait de cette confusion pour asséner un ace à l’Ascmo, probablement déconcentré par l’absence de Bruno, et qui d’ailleurs ne s’en remettra pas : 25/19 pour Jonage.   

Restait plus qu’à partager un bon fromage entre les quelques 10 personnes présentes… promis, messieurs de l’Ascmo, la prochaine fois on bâillonne  Bruno avec la boite de camembert dans la bouche et on garde le saucisson pour nous !

Prochain match ; lundi 20/01 contre Crapahut 2…avec le sourire SVP !

 

 

Gilou

LA UNE GAGNE EN GROGNANT

 

 
Mardi 16 décembre 2013 à Jonage

 

PESD
 

2-3 

 
JONAGE 1
 
25/12-25/27-25/19-13/25-11/15

 

A peu de chose près, vous avez failli allez chercher les nouvelles de Jonage 1 dans la rubrique nécrologie.

Oui c’est une équipe moribonde qui s’est présentée devant la Pesd. En tout au moins durant tout le premier set.

Il faut bien que je vous avoue que je fais partie de ceux qui ont grandement  contribué à cette débacle ! Mais à ma décharge j’avais des circonstances atténuantes. Oui parce que  pendant que certains allaient voir s’ils savaient planter le bâton aussi bien que Jean-Claude Guss à Courchevel (Philippe tu n’es qu’un enfoiré !!), moi il fallait que je m’organise pour récupérer ma fille à l’entrainement de volley, la faire manger la ramener avec sa sœur au gymnase pour les laisser dans les mains de ma femme qui n’avait pas eu d’autre idée que celle d’avoir un match de volley un mardi. Franchement, jouer en Prénational pour faire un match en semaine, autant qu’elle vienne jouer en loisir avec moi.

Bon, me disais-je, au moins mes filles ne resteront pas trop tard, parce que à la Pesd c’est extinction des feux du gymnase à 21h45, match fini ou non fini.

Mais voilà qu’à mon arrivée dans ce gymnase entouré d’un cimetière, le président du club était tout fier de m’annoncer :

« Bonne nouvelle, j’ai réussit à avoir les clés du gymnase, vous pouvez jouer jusqu’au bout de la nuit ! »

Ouais super ! En plus, je ne pouvais même pas lui en vouloir vu que c’est l’un des dirigeants de club les plus dévoués dans le Rhône !

Bon et dès mon premier ballon d’échauffement je me coinçais les cervicales  avec une vive douleur à chaque fois que je bougeais la tête! Là, quand on sait que je me fous de la gueule de tous les éclopés de l’équipe à chaque compte-rendu depuis le début de saison, j’avais l’air malin !

Mais comme on n’était que 6, il fallait bien aller au charbon.

Et donc là je zappe le premier set parce que il n’y en a rien à dire tellement l’équipe est passée à côté : 25/12. Circulez y a rien à voir.

Au deuxième set, sans atteindre un niveau extraordinaire, l’équipe se réveillait un peu et après avoir été menée de 4 points au début, elle revenait  et l‘emportait  27/25 en sauvant au passage une balle de 2 sets 0.

On en était encore à chercher la tactique

Bruno » Putain les gars, faut qu’on accélère le jeu sinon on est attendu à chaque fois au contre ! »

Bah oui mais avant de penser à jouer plus vite, il fallait penser à jouer tout court et c’était déjà pas simple !

Le 3ème set partait sur les mêmes  bases que le second, les 2 équipes alternaient le bon et le moins bon jusqu’aux environs des 15 points, moment où Jonage a prit, une fois de plus cette saison, l’eau en réception.

Bruno se fâchait »Putain mais c’est quoi ce placement, j’ai étudié tous les livres de volley, j’ai jamais vu qu’on se plaçai come ça ! Alors vous allez me faire le plaisir de vous foutre tous sur la même ligne et d’avancer ! »

Personne n’a osé le contrarier. Même le serveur adverse lui a donné raison en faisant la faute !

Mais ça ne suffisait pas, la Pesd s’imposait 25/19.

Alors un référendum était lancé : « Est-ce qu’on a envie de gagner ? »

Le « oui » l’emportant à la grande majorité, l’équipe se serrait les coudes pour s’imposer très facilement dans le 4ème set, face à une PESD amoindrie par la sortie de leur capitaine, et  souvent prise au piège des feintes d’Hervé.

Evidemment c’est toujours quand vous devez faire vite que les matchs se prolongent. Le temps d’avoir une pensée pour mes 2 filles qui allaient se coucher tard , il fallait retourner au combat.

Au 5ème set la confiance avait changé de camp et dans une chaude ambiance (les loisirs de la Pesd venant encourager leur équipe)  mais correcte (même s’il y a eu des erreurs d’arbitrage à mon sens, ce n’était pas par malhonnêteté), Jonage finissait par vaincre sur une dernière attaque rageuse de Bruno.

Ouf, il tétait temps de serrer les mains adverses, de remercier le Président de la Pesd (oui parce qu’à, 21h45 on était mené 2 sets à 1 et donc s’il n’avait pas eu les clés, on perdait la rencontre) et de se dépêcher de retourner à Meyzieu.. .Pour y trouver quoi ? Votre femme confortablement installée dans le canapé en train de regarder la télé , vos 2 filles paisiblement endormies dans leur lit: « ben oui on a gagné en 3 sets, nous ! » qu’elle m’a dit.

Oh la la, qu’elle fasse pas la maline parce que moi sinon je lui rappelle qu’elle en est à 5 victoires pour 6 défaites cette saison, alors que nous, nous en sommes à 6 victoires pour 2 défaites !

Voilà, maintenant c’est la trêve, un peu de foie gras, de sauternes et de bûche glacée et on remet le bleu de chauffe dès la semaine du 6 janvier (le lundi ou le mercredi, à voir) contre l’Ascmo.

 

Gilou

LA 6ème AU 5ème

 

 

Comptes rendus des matchs Equipe 1 6X6 Saison 2013/2014

Mercedi 10 décembre 2013 à Jonage

 

Jonage
 

1-3 

 
Vball 3
 
14/25-26/24-16/25-17/25

 

Et voilà,c’est bien connu après le un vient le deux, et donc une semaine après avoir connu sa première défaite, l’équipe 1 a perdu une deuxième fois d’affilée face à Vball 3.

Pourtant, qu’elle avait fière allure cette équipe !! Tout le monde présent, chaud comme la braise, avec le retour de Bruno qui faisait claquer smash sur smash dès l’échauffement.

Oh rassurez-vous, la fière allure n’allait pas durer longtemps… juste le temps pour le dit Bruno de se tasser les vertèbres à la réception d’un smash… et voilà qu’on commençait à craindre une nouvelle invalidité pour 2 mois.

Mais il n’allait pas s’en tirer à si bon compte le bougre… c’est qu’on avait besoin de lui parce qu’en face il y avait du lourd, Vball 3 étant invaincu depuis le début de la saison.

Et dès les premiers échanges on a compris pourquoi. Du solide en réception, du lourd en smash notamment un central qui nous faisait la misère, de la présence au contre ( le pauvre Bruno en venait à regretter de ne pas s’être pêter complètement un e vertèbre plutôt que de devoir subir ces contres à répétitions)

Vous l’aurez compris, le début de match était totalement à l’avantage de Vball et malgré un petit sursaut en fin de set le 25/14 que Jonage s’était pris dans les dents était bien mérité … au grand désarroi de Matthieu qui nous avait prévenu en  début de rencontre « Euh les gars, on n’a pas le droit de perdre en face j’ai un collègue et j’ai pas envie de me faire chambrer toute la semaine !

Le deuxième set pouvait démarrer… sans moi.  Faut dire qu’ils commençaient à m’énerver mes partenaires qui me disaient « Allez Gilles, lâche-toi ! » David, Philippe et même  Matthieu était venu me le dire à tour de rôle. « Mais oh les gars, vous allez me lâcher parce que moi j’ai pas eu l’impression de ne pas lâcher mon bras alors j’m’en vais arbitrer voir si vous ferez mieux que moi ! »

Pendant ce temps, notre Marian lui, se débinait pour le second set de suite. « Non, non allez-y sans moi, moi j’observe ! »

« Bon ben alors Marian, tu peux arbitrer » que je lui dis.

« Non, non fais sans moi, moi je t’observe » !

Oui, ben j’espère qu’il m’a bien observer arbitrer parce que moi, ce que j’avais oublié c’est que si sur le terrain il faut lâcher le bras, en tant qu’arbitre il ne faut pas lâcher le ballon, les mains des joueurs, les pieds etc des yeux.. et au bout de 2 points je faisais ma première faute d’arbitrage en comptant un ballon non franchi alors qu’hervé avait contré et ensuite un ballon out alors qu’il était dans le terrain. Tiens, si ça n’avait  tenu qu’à moi, je serai  bien aller observer avec Marian !

Et pendant ce temps là, les joueurs de Jonage, qu’est-ce qu’ils faisaient, hein, je vous le demande ?

Et ben il s’en sortait plutôt pas mal, en tout cas nettement mieux qu’au premier set.Il faut dire que Vball avait commencé à lâcher un peu de lest et commettait un peu plus d’erreur qu’au premier set alors que Jonage était plus présent. Et malgré un frayeur en fin de set, et après avoir sauvé un balle de 2 set 0, jonage réussissait à recoller au score à Un set partout : 26/24.

Alors on commençait à se dire et si on était les premiers à faire tomber le leader ?

Même Marian avait repris confiance : « Bon les gars, j’ai fini d’observer, maintenant je joue ».

Bah tu parles, ce second set n’était qu’un feu de paille.

Jonage commettait de nouveau quelques maladresses, pendant que Vball, sans atteindre le niveau du premier set, serrait un peu le jeu. Philippe s’énervait même contre l’adversaire « Putain mais arrêtez d’arbitrer à la place de l’arbitre ! » Bon d’un côté il avait raison parce que Vball avait oublié que je n’étais plus à l’arbitrage, il pouvait donc faire une entière confiance  à l’arbitrage. Mais d’un autre côté il avait tort parce qu’il avait du oublier que quelques points plus tôt, Hervé avait lui-même interrompu le jeu en faisant l’arbitre alors qu’il était joueur ! Restait plus qu’à se mettre sous la dent une dernière petite scène de ménage du côté de Jonage entre David et Philippe : « Bon t’arrête de dire qu’on joue mal ! » « Ben pourquoi tu dis que je dis qu’on joue mal alors que moi aussi je pourrai dire que t’a dit que je joue mal » « Oh mais si tu disais pas que je joue mal, peut être que tu n’aurai pas besoin de dire  que je dis que tu as dit que je joue mal. «  Non mais mois je vais te dire que si tu dis que je dis que tu as dit que je disais qu’on joue mal, c’est parce que je t’ai dit que tu avais dit que j’avais dit que tu avais dit que je disais qu’on joue mal, et ça ça te vexe !! »

Bah, je sais pas si Marian a bien observé mais moi j’y comprenais plus rien…enfin si ! Je comprenais que c’était surtout une période de dis… ette pour Jonage qui pris par l’énervement ne marquait plus beaucoup de points : 25/16-25/17. Voilà c’était plié.

Restait plus qu’à souhaiter une bonne semaine au travail au pauvre Matthieu et à se donner rendez-vous pour jouer le match contre la Pesd le mardi suivant pour interrompre la mauvaise série de défaites ?

Quel est le con qui a dit « jamais deux sans trois ? ».

 

Gilou

DEUX DE CHUTE POUR LA UNE!

 

 
Lundi 1er décembre 2013 à Crapahut

 

Crapahut 3
 

3-2 

 
Jonage
26/24-25/22-17/25-16/25-15/7

 

Et voilà on en était à dépoussiérer nos vieux livres guiness des records, on était allé voir dans les archives, sur Internet pour savoir si on avait déjà vu ça dans l’histoire du volley, on commençait à comparer Jonage 1 à l’équipe du PSG, en se posant LA même question : Est-ce que Jonage allait pouvoir conserver son invincibilité, après 5 victoires consécutives, pendant toute la duré du championnat ?

Il faut dire que  la comparaison avec  le PSG, nous allait bien puisque c’était au lendemain de l’écrasante victoire du PSG contre l’OL que Jonage allait affronter Crapahut 3.

Mais on ne le savait pas encore, c’était 2 jours avant la défaite de ce même PSG, contre Evian !

N’allez quand même pas croire que Jonage était arrivé en terrain conquis malgré son impressionnante série de victoires :

Hervé me le disait : « Le match contre Azergues on peut le rejouer 10 fois on ne le gagnera peut être jamais ! » Ah oui parce qu’u faut que je vous dise que pendant que je m’en allais perdre avec l’équipe 2 contre Montanay, l’équipe 1 battait Azergues dans un match,selon les dires des protagonistes et des spectateurs, de haute volée. Mais pour le savoir lisez donc le compte-rendu… quand il sera en ligne !

Bon sinon Philippe lui rajoutait ; « Crapahut 1 ou Crapahut 8, de toutes façons je crois qu’on n’a encore jamais gagné contre Crapahut »

Bon alors comme c’était le temps où on avait encore le nez dans les livres d’histoires, on est allé vérifier… pour s’apercevoir que la saison dernière Jonage avait battu Crapahut 3 :

Ah la la, on si en plus du physique qui ne tient plus, nos dinosaures de Jonage 1 ont la mémoire qui flanche, où va-t-on ?

En tout cas, un qui n’avait jamais perdu contre Crapahut, c’était Matthieu…. Et pour cause puisqu’il jouait à Crapahut les saisons précédentes. Quoi que, à la reflexion, un Crapahut 14 contre Crapahut 22 ça a bien déjà du exister, non ?

De toutes façons, on avait raison de se méfier parce que comme dit Marian, Jonage avec un seul passeur c’est comme le PSG sans Zlatan. Et oui, notre ami Olivier étant de sortie il nous fallait jouer avec un passeur pénétrant.

Malgré ça, Jonage fit un bon début pour mener 22/18 dans le premier set  Puis  on se retrouva avec une balle de set contre nous, la faute à des imprécisions en réceptions et relances dont nous avons pris la mauvaise habitude maintenant. Mais une fois sauvée cette balle de set, à 24 partout avec Philippe au service, on se disait qu’on avait de bonnes chances d’y croire. Mais le pauvre, quand c’est pas le physique ou la mémoire, c’est le service qui flanche ! Une faute plus tard , voilà Crapahut qui pouvait exulter, on était mené 1 set 0.

Au 2ème set, même scénario : Une équipe de Jonage quis e détache, puis qui commet des erreurs en relance et receptions, mais pas seulement, parce que quand celles-ci arrivaient correctement c’est soit  la passe, soit l’attaque qui défaillaient.

Et puis les nerfs….Ah, les nerfs !!!! Ca faisait longtemps qu’on n’avait pas parlé des nerfs de Jonage. Mais que cette équipe est décidément trop fragile mentalement quand les choses ne tournent pas comme il faut.

Et donc Crapahut en profitait pour mener 2 sets 0.

Alors Marian annonça : « Moi j’y comprends rien à votre système à un seul passeur, je sais pas où me mettre alors on change, on ne peut pas faire autrement »

Donc David se reconvertit en passeur et nous voilà reparti.

Et le pauvre Marian n’avait pas fini de ne rien comprendre, parce que quand il prenait le ballon, on lui disait « Putain Marian t’es attaquant c’es pas à toi de réceptionner ! » et quand il le laissait « Putain Marian, tu vas le prendre ce ballon ! » « Ben je suis pas passeur c’est la deuxième je la laisse » «  Oui ben le passeur il pouvait pas la prendre »

Il paraitrait que depuis 3 jours Marian étudie tous les manuels de Français pour savoir s’il a bien compris toutes les subtilités de notre langue tellement il était perdu après ça !

Bon en tout cas, notre système de jeu ayant changé, et Crapahut ayant changé de fille par une autre, le sort de la rencontre s ‘inversa : Jonage avait serré les boulons et Crapahut commettait nettement plus de fautes. Le 3ème et le 4ème set était remporté facilement par Jonage.

Restait ce fameux 5ème set à aller chercher, mais malgré un bon début de Jonage Crapahut qui avait de nouveau inverser de filles depuis le milieu du 4ème set, s’était relancé , était beaucoup plus performant en attaque et en contre et l’emportait inexorablement 15/7.

Bon, je retourne une dernière fois dans mes manuels d’histoire pour y voir quoi ?

La saison dernière Jonage a commencé par une série de 6 victoires avant de perdre pour la première fois au mois de décembre pour ne plus jamais gagner ensuite !!! Bah j’le savais que j’aurai du les vendre ces manuels !!! C’est décidé, ils serviront à allumer ma cheminée !

Prochain match mercredi 11/12 contre Vball 3…qui est invaincu. Paraitrait que ça veut rien dire !

 

Gilou

 

 

 

 

Fin de série

 

 
Lundi 18 novembre 2013 à Meyzieu

Meyzieu

1-3 

Jonage
24/26-25/21-24/26-21/25

Le derby pour Jonage

 

 

 

Un derby ça n’est pas un match comme les autres :

Tout d’abord, quand vous jouez à l’extérieur, bizarrement , le gymnase se trouve plus proche de la maison que quand vous jouez à domicile.

Ensuite, quand vous entrez dans le gymnase, vous connaissez tout le monde ou presque : Vous avez couru la saintéLyon en relais avec l’un, vous êtes allé mangé chez l’autre,  vous entrainez le fils du 3ème, et vous avez partagé le banc des supporters de l’équipe féminine de prénat avec la moitié d’entre eux.

Et puis cerise sur le gâteau, ça vous premet de venir avec votre petite famille au match.

Ah que c’est bon d’entendre les « Allez papounet » dès le début du match.

Bon, il faut dire que ces encouragement sont bien vains, puisqu’à 6/3 je n’ai toujours pas touché le moindre ballon.

Qu’importe ! Parce que dans 6/3 il y a 6 et ça correspont au nombre  depoints marqués par Jonage et 3 correspondant, vous l’aurez deviné, au nombre de points marqués par Meyzieu.

Jusque là tout va bien, donc ? Et n’allez pas croire que dès que je touche mon premier ballon, la tendance s’ inverse.

Non ! A  19/12, on peut même dire quue  Jonage maitrise plutôt bien son sujet devant une équipe de Meyzieu assez fébrile.

Et c’est à ce moment –là que le capitaine adverse décide de faire rentrer un nouveau joueur.

 Ho le con ! Mais celui-là, je l’ai porté sur mes genoux quand il était petit. Tu crois que ça va me faire peur ?

J’m’en vais te l’atomiser dès mon premier smash, tu vas voir, il va appeler sa mère !

Ah mince, le ptiot, de mes genoux, tout ce dont il se souvient c’est qu’ils étaient osseux (n’est-ce pas Fabienne) et la différence  c’est que pendant que moi j’me fais encourager par mes filles, lui c’est son père qui le supporte. La nouvelle génération n’est absolument pas impressionée par l’ancienne.

« Allez papounet ! » Oui ben facile à dire , le merdeux il me remonte tout mes smashs, pas possible ça, si j’avais su jamais je  ne l’aurai porté sur mes genoux !

Bon avec tout ça, Jonage commence à faire des erreurs et Meyzieu remonte.

« Vous allez vous bouger l’cul ! »

Ben voilà, c’est Bruno, venu nous coacher, qui s’énerve maintenant.

Faut dire, que le cul on l’a plutôt en arrière et c’est compliquépour réceptionner.

Bon, heureusement, on avait de l’avance, on finit par arracher le set 26/24.

Mais dans le 2ème on continue à alterner le pire et le meilleur et Meyzieu s’accorche, défends-bien, et nous coiffe sur le fil 25/21.

« Allez papounet » Oh, j’suis pas tout seul, hein, dans l’équipe ! Alors pourquoi toujours papounet ?

3ème set, l’équipe est nerveuse, la tension monte et on continue à accumuler les maladresses en réception.

« Allez papounet ! » Oh ! Il est 21h30, comment ça s’fait qu’elle s ne soient pas couchées, ces gosses !

Mais Meyzieu aussi joue avec l’inconstance, ce qui permet à Jonage de s’imposer 26/4 après avoir sauvé une balle de set.

Allez, papounet, on rentre on va se coucher, tu gagnes, hein ! »

Oui, ben on verra.

Et c’est pas gagné, Meyzieu mêne encore 7/4 … mais c’est un chant du cygne, Jonage retrouve un peu de rigueur, pendant que Meyzieu atteint moralement, n’y est plus.

Reste plus, pour déstabiliser l’équipe qu’à compter un collé à Hervé sur la balle de match à 24/19.

Là, pour le coup, en parlant de collé, Hervé, il aurait bien collé son poingt dans la tête de l’arbitre mais quand même en tant qu’ancien de Meyzieu et comme il connait l'arbitre, il s’est contenu.

2 points plus tard, le match était plié.

Victoire dans la douleur, donc, c’est certainement la première fois que Meyzieu mène autant la vie dure à Jonage.

Premier match difficile de la saison, c’est quand même plus intéressant que des matchs pliés 3/0 sans frisson.

Vivement les prochaines rencontres…. Allez papounet !!!

 

Gilou

 

 

 

Mercredi 12 novembre 2013 à Jonage
Jonage

3-0 

Rhôdia-Vaise 1
25/23-25/18-25/13
On n'arrête plus la 1!

Encore une victoire pour l’équipe 1, Encore 3/0 ; Ca devient banal me direz vous.

Oui mais tout n’est pas si simple :

Car si pour une fois aucun problème au niveau de l’effectif de Jonage composé de 7 joueurs dont notre Suisse Vincent qui nous a rendu sa visite annuelle, c’était bien de l’autre côté du filet qu’il fallait regarder.

Une équipe du Rhôdia-Vaise qui remplissait tous les quotas imposés par l’Union Européenne :

Une personne du 3ème âge, une personne de couleur, et cerise sur le gâteau : l’élément féminin qui allait leur permettre, croyaient-ils ,de mener automatiquement 3/0 au début de chaque set .

Sauf que non. Ici c’est le championnat compet’lib et non le championnat loisir mes  braves messieurs ! Pas d’avantage pour les équipes mixtes face aux équipes masculines.

« Bon ben on la fait jouer quand même, puisqu’elle est là » Oui puis surtout parce que sans elle vous n’êtes que 5 !

Enfin la faire jouer est un bien grand mot, vu le peu de ballon qu’elle a touché dans le match, elle faisait plutôt figure de potiche.

« Ca aurait été moi, je les aurai tous envoyé baladés ! » c’est indigné Sandrine, venue compléter le clan des supporters avec Fabienne et Clémence.

Bon, en plus d’être machiste, cette équipe avait le défaut d’être pour le moins contestataire.

Alors, au premier set on a laissé faire, trop occupés à essayer de conclure des points de façon définitive ; Il faut dire  qu’en raison de notre manque d’agressivité, et malgré des réceptions plus que correctes (en tout cas nettement meilleures que face à Tassin) on se serait cru, sur certains points à un match de tennis à Roland Garros entre Juan Miguel Jtepousso La Balla et  Julio Martinez De Térenvoyo La Balla. Bref,  un spectacle où personne ne conclut le point et chacun attend la faute de l’adversaire ! Et à ce petit jeu le Rhôdia-Vaise n’étant pas maladroit, c’est seulement sur le score de 25/23 que Jonage enlevait le premier set.

Et c’est alors qu’au deuxième set, nous avons eu le droit à notre Hervé’s Show.

Ouh que ça l’a énervé les contestations de Rhôdia ! Et notamment sur une magnifique corse de Vincent sur laquelle le capitaine adverse a prétendu que le ballon avait touché le sol !

Bon d’accord c’était une corse feignante, si tant est qu’on puisse traiter une Corse de feignante sans faire un pléonasme, puisque fait non pas avec la main entière mais avec le bout du doigt.

Mais le père Hervé, il avait pas fait venir son pote de Suisse pour qu’il subisse ça !

Remonté comme une pendule (suisse) il a commencé à bavarder avec les adversaires avant de s’en prendre à David qui venait de pousser un ballon à 10 doigts au lieu de l’attaquer… en plein milieu d’un point !

Notre David en a été estomaqué et se l’ai joué  De Niro :

« You’re talking to me ?! You’re talking to me ?!  Bon alors if you’re talking to me, fais-le quand le point est fini, please, parce que moi après I am déconcentré ! »

Bon, malgré tout ça, le Rhôdia qui n’avait qu’un attaquant pour faire mal, ne pouvait pas rivaliser et perdait le 2ème set 25/18.

Jonage pouvait alors se payer le luxe de me faire sortir (et quel luxe) pour faire jouer les remplaçants ( !) le 3ème set n’était qu’une simple formalité.

Prochain match lundi 18/11 à Meyzieu… équipe qui ne nous a jamais battus. Encore un petit 3/0, ça vous dit ?

 

Gilou

Jeudi 7 novembre 2013 à Tassin
Tassin

0-3 

Jonage 1
21/25-23/25-17/25
Jonage s'impose à Tassin

Ah ! Enfin ! Pour la première fois depuis 1 an, 6 mois, 3 jours et 23h, Jonage 1 allait  pouvoir compter sur un effectif au grand complet !

9 joueurs, vous vous rendez-compte ! On allait presque même se marcher dessus sur le terrain !

Et puis il y a eut ces échanges de mails :

Vincent dit « le glandu de Suisse » : Bon nous c’est pas comme en France, on bosse ici, alors ça sera sans moi !!

Bruno dit « l’infirme de service » : Bon ben étonnamment je suis blessé ! Alors je laisse ma place !

David dit « le dos tordu » : Eh les gars je sais que le match est dans 2 heures mais là j’ai trop mal au dos, alors comptez-pas sur moi !

Restaient donc 6 joueurs : Philippe dit « le p’tit nerveux », Hervé dit « le gendarme qui passe (à tabac ceux qui sont en infraction), Marian dit « le Roumain qui ne peut pas faire autrement », Olivier dit « le boiteux du genou », Matthieu dit « le grand discret » et votre serviteur dit « le joueur qu’on veut dans l’équipe parce que même s’il joue pas toujours bien au moins il planifie les matchs et il fait les comptes-rendus ! » (Soit dit en passant, il serait temps de trouver un surnom un peu plus court !)

Mais comme c’était ces mêmes 6 joueurs qui avaient battu St Priest 3/0 personne n’était inquiet. Ah si ! Il y en a un qui était inquiet c’était David ! Inquiet de perdre sa place il a dit : « J’en ai plein le dos de rester à la maison, finalement je viens ! »

Nous voilà donc 7 joueurs  face à Tassin. Après avoir joué St Priest, qui aurait du descendre mais qui s’est maintenu dans le niveau grâce à l’arrivée de nouvelles équipes, on avait donc droit au promu. Comme début de championnat, il y a plus dur quand même. On remerciera donc au passage , celui qui établit les calendriers !

Après un échauffement au cours duquel Olivier ne faisait pas mentir son surnom en ressentant une  pointe à la cuisse, on pouvait démarrer.

Philippe est venu me voir : « Alors, il parait que tu m’appelles « le p’tit nerveux » quand j’ai le dos tourné  et que tu trouves ton surnom trop long ? J’t’en ai trouvé un plus court : « le remplaçant » ! Tu restes dehors le premier set ! »

Me voilà donc au bord du terrain pestant aux côtés de Bruno reconverti en coach d’un soir, devant les approximations en réception et relance et le manque de présence au bloc au centre, endroit par lequel Tassin marque la plupart de ses points ce qui lui permet de nous mener la vie dure.

Ah j’en pestais de rage ! Alors après que Jonage l’ai emporté difficilement 25/21, j’étais prêt à prendre la place de David qui en avait maintenant plein le dos de smasher,   pour montrer ce que je valais !

Après mes 2 premières réceptions, on en était tous convaincu, j’étais bien au niveau de l’équipe ! Tout aussi imprécis que mes partenaires devant, pourtant des services et des attaques de Tassin pas franchement farouches !

Alors que le score était serré dans ce deuxième set, on a eu le droit à un match dans le match, la main de Philippe entamant un combat violent contre le sol. Mais après une frappe de la main qui n’avait pas du tout ébranlé le sol, le combat tourna court, la main comprenant vite qu’elle n’en viendrait pas à bout, abandonnant lamentablement !

Bon tout ça ne devait pas nous faire oublier Tassin qui continuait ses attaques au centre. Alors Marian, écoutant les conseils de Bruno finit par faire des contres, Hervé lui sorti des petites bidouilles en seconde main qui finirent pas faire la différence.

25/23, ouf le plus dur était fait, Tassin s’écroulant dans le 3ème set. 25/17

2ème victoire 3/0, Jonage est donc en tête, mais devra hausser le niveau de sa réception et de ses relances si l’équipe ne veut pas subir des déconvenues face à des équipes plus puissantes et plus agressives.

Prochain match : Mercredi 13/11 à la maison contre Rhôdia-Vaise.

Gilou

Mercredi 16 ocobre 2013 à Jonage
JONAGE 1

3-0 

Saint Priest
25/15-25/16-25/20
Vite fait, bien fait

 

Bon alors, vite fait je vous raconte notre match de mercredi  dernier contre St Priest.

Vite fait j’vous fait un état des lieux de l’équipe : Exit notre asiatique de Bourgoin (Kris) et notre petit bout de charme à l’accent chantant (non je ne parle pas  de Philippe Douchy toujours là, mais de Chantal !) et place au grand mais non moins réservé, Mathieu, celui qui ne fait pas de bruit mais qui du haut de ses 2 mètres (ou presque) vous plante des smashs comme d’autres planteraient des carottes.

Vite fait on a pu compter les forces en présence : 6 ni plus ni moins, Bruno n’ayant encore pas épuisé tout son forfait blessure, était de repos, et David étant  consigné à la maison dans le rôle que le monde entier lui envie, de  papa qui garde les gosses.

Vite fait on a donc monté les terrains : des poteaux installés avant même 20h30 et alors que tout les basketteurs étaient encore dans la salle, de mémoire de jonageois, on n’avait encore jamais vu ça.

Vite fait Jonage a pris le large une fois le match commencé.  Il faut dire qu’en face nos San Priotes ne manquaient pas seulement de priotes mais également de réception !

Alors on a pris le large 25/15 au premier set et on s’est largement détaché dans le second  set en jouant un volley sérieux  et efficace.

Le capitaine San Priote et sans solution, a alors vite fait sortir un joueur qu’on appelait Nico pour le remplacer. Nico étant l’abréviation de Nicolas et non de Nicosie, on n’a toujours pas compris pourquoi il lui a dit : « Tu sors parce que tu chies, priotes ! » (oui alors là cette blague vaseuse étant la première de la saison je vous autorise à rire vite fait sans en faire trop !).

Bon toujours est-il que le bougre a  eu vite fait de démontrer qu’il apportait du poids à son équipe et on a senti le vent quelque peu tourner.

Certes le second set a été gagné 25/16 mais au 3ème le match était beaucoup plus accroché, avec, il faut bien le dire, des jonageois qui commençait à faire quelques fautes notamment au service.

On a même vu notre Philippe commencer à s’énerver ! Oh rassurez-vous, juste vite fait !

Mais dans le money-time du 3ème set, on a su serré le jeu, et quand il a fallu conclure, notre nouvelle recrue Mathieu a démontré vite fait, qu’il faudrait compter sur lui dans les moments importants : Ace sur balle de match.

Pour le prochain match ça sera pas vite fait, puisqu’il faut attendre le jeudi 7 novembre pour voir de nouveau l’équipe 1 sur les terrains, ça sera à Tassin cette fois-ci !

Gilou

Mercredi 16 ocobre 2013 à Jonage
JONAGE 1

3-0 

Saint Priest
25/15-25/16-25/20
Vite fait, bien fait

 

Bon alors, vite fait je vous raconte notre match de mercredi  dernier contre St Priest.

Vite fait j’vous fait un état des lieux de l’équipe : Exit notre asiatique de Bourgoin (Kris) et notre petit bout de charme à l’accent chantant (non je ne parle pas  de Philippe Douchy toujours là, mais de Chantal !) et place au grand mais non moins réservé, Mathieu, celui qui ne fait pas de bruit mais qui du haut de ses 2 mètres (ou presque) vous plante des smashs comme d’autres planteraient des carottes.

Vite fait on a pu compter les forces en présence : 6 ni plus ni moins, Bruno n’ayant encore pas épuisé tout son forfait blessure, était de repos, et David étant  consigné à la maison dans le rôle que le monde entier lui envie, de  papa qui garde les gosses.

Vite fait on a donc monté les terrains : des poteaux installés avant même 20h30 et alors que tout les basketteurs étaient encore dans la salle, de mémoire de jonageois, on n’avait encore jamais vu ça.

Vite fait Jonage a pris le large une fois le match commencé.  Il faut dire qu’en face nos San Priotes ne manquaient pas seulement de priotes mais également de réception !

Alors on a pris le large 25/15 au premier set et on s’est largement détaché dans le second  set en jouant un volley sérieux  et efficace.

Le capitaine San Priote et sans solution, a alors vite fait sortir un joueur qu’on appelait Nico pour le remplacer. Nico étant l’abréviation de Nicolas et non de Nicosie, on n’a toujours pas compris pourquoi il lui a dit : « Tu sors parce que tu chies, priotes ! » (oui alors là cette blague vaseuse étant la première de la saison je vous autorise à rire vite fait sans en faire trop !).

Bon toujours est-il que le bougre a  eu vite fait de démontrer qu’il apportait du poids à son équipe et on a senti le vent quelque peu tourner.

Certes le second set a été gagné 25/16 mais au 3ème le match était beaucoup plus accroché, avec, il faut bien le dire, des jonageois qui commençait à faire quelques fautes notamment au service.

On a même vu notre Philippe commencer à s’énerver ! Oh rassurez-vous, juste vite fait !

Mais dans le money-time du 3ème set, on a su serré le jeu, et quand il a fallu conclure, notre nouvelle recrue Mathieu a démontré vite fait, qu’il faudrait compter sur lui dans les moments importants : Ace sur balle de match.

Pour le prochain match ça sera pas vite fait, puisqu’il faut attendre le jeudi 7 novembre pour voir de nouveau l’équipe 1 sur les terrains, ça sera à Tassin cette fois-ci !

Gilou

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